Le président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo serait accusé de violer les textes de l'Union africaine (U.A), pour occuper le poste de membre non permanent du Conseil de sécurité de l'Organisation des Nations-Unies pour la période allant de 2022 à 2023.
C’est sous l'anonymat qu'une source proche du gouvernement gabonais s’est livré sur le medias Nouveau Gabon, accusant Félix Tshisekedi.
Selon ce medias, le Gabon devrait se battre avec la RDC pour un siège réservé à l’Afrique au conseil de sécurité de l’ONU.
Elle ajoute que le pays d’Omar Bongo est le seul candidat à avoir déclaré sa candidature en toute conformité comme membre non permanent à la date qui était prévue pour le 31 décembre 2020, mais qui, se voire aujourd’hui faire face au pays de Félix Tshisekedi qui convoite également ce poste.
« Le président Félix Tshisekedi veut faire un passage en force, pourtant, l’on savait déjà que le Gabon était le seul candidat en lice. Il souhaite être soutenu par ses pairs africains pour être le candidat désigné par concertation des chefs d’État, a-t-il déclaré, poursuivant qu'Il viole ainsi les textes de l’Union africaine pour accaparer le siège devant revenir au seul candidat déclaré qui est le Gabon ».
Il sied de noter que le conseil de sécurité a pour but de maintenir la paix et la sécurité internationale, conformément aux principes des Nations unies, enquêter sur tout différent ou toute situation de désaccord entre les nations.
Il peut aussi inviter les membres à appliquer des sanctions économiques et d’autres mesures pour prévenir une agression ou y mettre fin.
Il est composé de 10 sièges non permanents qui sont renouvelés par moitiés tous les années dont l’Afrique détient trois sièges.
Isaac Bwete