L'Agence nationale pour la promotion des investissements (ANAPI) a organisé vendredi 21 août 2020 à l'hôtel de ville, une matinée de sensibilisation des députés et ministres provinciaux de la ville province de Kinshasa sur les réformes du climat des affaires en RDC. 
 
Selon le directeur général de l'ANAPI, Anthony Nkinzo,  son institution a voulu informer l'opinion de ce qui se fait déjà ainsi que des perspectives dans l'exercice de la fonction publique,  mais surtout sur les politiques publiques qui intéressent les congolais.

 "Nous sensibilisons parceque l'ANAPI  s'est rendue compte qu'après les missions de suivi et évaluation, il y a une faible signature entre le pouvoir central et les provinces ”,  a-il fait savoir.
 
Il a, à cette occasion, appelé les députés et les ministres provinciaux à jouer un rôle important pour une meilleure explication des réformes du climat des affaires auprès de leurs électeurs.
 
Le vice gouverneur de la ville de Kinshasa, Néron Mbungu, quant à lui, a procédé à l'installation des nouveaux membres de la cellule du climat des affaires au niveau du gouvernement provincial.
 
Pour Antony Nkinzo Kamole, " cette cellule du climat des affaires est entrain de s'inscrire dans une vision du Président de la République, qui, déjà dans son discours d'investiture, avait pris à bras le corps la question du climat des affaires en RDC. 

 "Il y a une synergie qui existe entre cette vision et ce que nous sommes entrain d'animer maintenant. Ce que nous attendons est que nous puissions avoir un peu plus d'actions venant de la part de la ville province de Kinshasa qui est la ville miroir ", a-t-il noté, avant d'ajouter : qu'ils attendent avoir un environnement serein  au niveau de Kinshasa, où l'on ne parlera plus des tracasseries administratives ou des surtaxactions.

La sensibilisation s'est déroulée en présence du ministre d’Etat du plan, une délégation de la présidence de la République, du vice gouverneur de la ville  de Kinshasa, et du représentant du président de l'Assemblée provinciale de Kinshasa, signale-t-on.

 Agnès B, Finance Times.cd